Outre les partenaires institutionnels issus de l'ex GDR SALVE, d'autres entreprises entretiennent des relations suivies avec les FEG, sur lesquels elles sont venues se greffer:
Constituée d'une vingtaine de chercheurs (professeurs, maîtres de conférences, enseignants du secondaire, doctorants, bibliothécaires, archivistes), l’équipe a en charge l’un des sous-axes, « histoire des collégiales médiévales » appartenant à l’axe VI, « l’Église, corps social (XIIe-XVIe siècles) » du LAMOP (Laboratoire de médiévistique occidentale de Paris).
Elle se réunit deux fois par an, une fois en hiver à Paris pour une journée et une fois en été en province pour un week-end. Les réunions se composent soit d’un bilan sur l’avancée du travail commun et sur ses modalités, soit d’une journée d'études sur un thème afférent au projet (donnant lieu à publication) et d’une visite des églises collégiales de la région d’accueil.
Le principal projet scientifique est l'établissement d'un répertoire des collégiales séculières qui ont connu le jour durant la période médiévale. Le cadre géographique précis est celui des diocèses dans leurs frontières médiévales, dont une partie au moins des paroisses étaient en France au début du XVIe siècle ou le sont actuellement. Le répertoire commence au concile d’Aix de 816 (les établissements nés avant 816 ne sont retenus que s’ils ont perduré) et s’achève en 1530. Il se présente sous forme de base de données XML, consultable à l'adresse suivante: http://lamop.univ-paris1.fr/collegiales/.
Haut de pageMadame Lemé-Hébuterne, docteur en histoire et collaboratrice des Fasti, mène des recherches concernant l'iconographie de la fin du Moyen Âge et des débuts de la Renaissance en France (XVe-XVIe siècles), particulièrement à travers l’étude des stalles et des sculptures qui les ornent. Outre son implication au sein des Fasti, elle est une des membres fondatrices de l'association "Stalles de Picardie" (le site internet de cette association sera accessible sous peu).
Une présentation détaillée des travaux de Kristiane Lemé-Hébuterne est disponible ici.
Haut de pageLe projet Legacy présenté par Hélène Millet pour un financement européen auprès du programme eContent-plus en 2008 n’a pas été retenu. Les relations établies dans ce cadre ont en revanche été maintenues en vue de préparer un autre projet. Dans cette optique, le LAMOP a obtenu du CNRS en janvier 2010 la création d’un GDRE (Groupement de recherche européen), intitulé "Aux fondements de la modernité étatique en Europe, l'héritage des clercs médiévaux", animé par Dominique Iogna-Prat et Fabrice Delivré. Un site réalisé par Hugues Labarthe détaille ce projet: e-ecclesia.eu
Plusieurs membres des Fasti sont intervenus dans le projet "PICRI" "Meaux, une cathédrale au coeur de la ville" maintenant clos. Il est possible d'obtenir des informations sur ce projet et d'en consulter la base de données.
Par l’intermédiaire de l’axe « l’Église corps social » du LAMOP, les Fasti sont partenaires du programme « Corpus électronique des lettres des papes des XIIIe et XIVe siècles ». Créé pour quatre ans en janvier 2007, ce programme auquel participent également l’UMR 5648 (CIHAM),l'IRHT, l'EFR, l’EA 3152 (Université d’Avignon) et Brepols Publishers est coordonné par Jacques Chiffoleau. Il a pour objet de construire et d’exploiter la base de données Ut per litteras apostolicas qui est un outil de travail fondamental pour l’élaboration des « fastes » diocésains.
La participation du LAMOP au projet repose sur l’étude de l’efficacité des décisions pontificales. Dans cette optique, il est éclairant de procéder à la confrontation des renseignements recueillis dans les sources locales et des interventions pontificales en matière bénéficiale. Au cours de leurs réunions bisannuelles, les membres des Fasti ont à plusieurs reprises fait le point sur les procédures d’interrogation de la base UPLA en vue d’obtenir des réponses mieux ciblées aux interrogations.
Prévue initialement, la mise en relation des bases de données Ut per litteras apostolicas et Fasti Ecclesiae Gallicanae n’a pas pu être réalisée. En revanche, la refonte du logiciel Fasti par Stéphane Raux a été financée dans le cadre de CORELPA.